Accompagnement

Mettre en pause le travail angélique toltèque (version longue)

Mettre en pause le travail angélique toltèque (version courte)

  • Quels sont ces anges qui produisent cette guérison surpuissante ?

  • Pourquoi ressent-on les symptômes qui évacuent notre être ?

  • Et, pourquoi est-ce si douloureux parfois ?

Questions Réponses 1

Questions Réponses 2

Questions Réponses 3

Gérer ses crises aiguës curatives

Je vois le corps comme un réceptacle qui garde en mémoire les événements traumatisants, certaines maladies que j’appelle “maladies énergétiques” et les émotions. Et comme une cocotte-minute, quand le corps n’a plus la capacité de stocker les énergies négatives, cela explose au visage. J’imagine les anges comme des docteurs qui, d’un coup de doigt, font sortir une énergie négative. Petit à petit, cette énergie stockée remonte à la surface. Elle suit le même parcours qu’elle a emprunté à l’aller, sauf qu’il faut maintenant la faire sortir. On rembobine la cassette vidéo et, comme à l’époque, on revit la scène, mais à l’envers, avec les douleurs associées et les sensations désagréables. Les anges me disent parfois de respirer. Parfois, les énergies négatives sont tellement intenses que je vis pleinement l’évacuation, comme si le temps s’était arrêté l’espace d’un instant. Les énergies sortent également sous forme de mots, et je sais très bien que c’est une partie de moi du passé qui s’exprime. Le plus dur, selon moi, c’est le début. On a du mal à comprendre ce principe de faire “sortir le mal par le mal”. On souffre déjà beaucoup, et en plus, on doit tout revivre. Je savais déjà que ça allait être dur parce que je me souviens de tous les symptômes que j’ai eus sans raison. Et puis, le temps passe. On se rend compte qu’on se sent un peu mieux au fur et à mesure. Je le vois surtout au niveau de l’esprit. Je me sens changée, surtout après les deux derniers mois très difficiles. Moins de peur, un peu plus de sagesse. C’est compliqué à expliquer, mais on le sent. Je ne sais même pas si les personnes de notre entourage s’en rendent compte, et finalement, peu importe. Le plus important, c’est qu’on doit être fier(e) d’avoir emprunté cette voie, certes très dure, mais les plus beaux enseignements passent par la souffrance. “Les deux genoux à terre, je regarde devant moi. Je crois qu’il n’y a plus aucun espoir. Le temps défile à vive allure. Je suis seule et perdue dans la tempête. Au loin, dans la tempête infernale de mon être, je vois une petite lueur. Elle se rapproche. La lumière devient de plus en plus grande et scintillante. Face à moi, elle provoque un océan de larmes. “Qui suis-je ? Comment on sort de là ? Comment on fait pour se relever ?” Pas de réponse. Une petite étincelle se détache de la grande et vient directement se poser dans mon cœur… Lumière Divine. Elle me donne la force de me relever. Et chaque fois que j’aurai les deux genoux à terre, je sais que la lumière ne va pas tarder à arriver…

Estelle